De belles choses j'ai possédé, mais dans leur dénuement, j'ai trouvé le contentement. De belles personnes j'ai côtoyé, mais dans leur convivialité, j'ai trouvé l'authenticité. De belles œuvres j'ai contemplé, mais dans leur histoire, j'ai trouvé l'espoir. De belles contrées j'ai exploré, mais sur leur terre j'ai trouvé un repère. De beaux milieux j'ai fréquenté, mais dans leur sobriété j'ai trouvé l'humilité. De beaux édifices j'ai admiré, mais dans leurs foyers, j'ai trouvé l'hospitalité. De beaux souvenirs j'ai gardé, mais dans leur existence j'ai trouvé LE sens… Jamais la vanité n'aura été une telle évidence, depuis que j'ai fait leur connaissance. Aucun trésor temporel n'aura réussi à égaler l'écho des battements de leur cœur, l'éclat du soleil sur leur visage, la lueur des étoiles dans leurs yeux et la splendeur du sourire sur leurs lèvres. Eux, qui pourtant n'ont rien pour attirer le
Le royaume de Dieu ne vient pas de manière à frapper les regards. Ce passage de l'évangile de Luc au chapitre vingt a été le fil conducteur de mon année 2021 sur plusieurs plans, avec en filigrane la magnifique reprise en français du chant "Believe for it" de Ceecee Winans par le groupe Beyond worship overflow, à découvrir à la fin de cet article. J’ai réalisé que derrière des circonstances, des personnes ou des détails quelconques au premier abord, se cache parfois le plus incroyable des trésors; j’ai appris que ce qui nous agace, nous déçoit, nous repousse, nous effraie, voire même que l’on ignore ou méprise, volontairement ou non, pourrait étonnamment se révéler être la clé de notre délivrance... En raison de son apparence, nul n’avait en effet reconnu la divinité de Celui dont il est écrit qu’il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer les regards, et dont l’aspect n’avait rien pour plaire (Ésaïe 53:1-2). Aussi, à la question "comment oses-tu me demander à bo